GIBRAT et la pochette surprise de Pinocchia

Publié le par danielsansespace


(écrit en janvier 2004 - ré-édtion augmentée de visuels)

Un vendeur qui ne sait pas trop bien vendre son truc, en revanche, c'est Daniel Maghen. J'accuse et j'explique. Je lui ai acheté une planche de Gibrat prétendument extraite de Marée Basse il y a quelques mois. Comme j'avais vu qu'il y aurait une ré-édition, j'attendais patiemment d'avoir l'album, et mes souvenirs de lecture survolée dans une travée de Fnac ne me permettaient pas de me souvenir si c'était bien dedans. :oops: Mais j'étais content à l'époque d'avoir une planche de Gibrat.
Manque de bol maintenant que l'album est ressorti, je m'aperçois qu'il s'agit d'une planche de Pinocchia. :shock:
Bon. Je n'avais pas Pinocchia, alors je l'ai acheté. Et là, je dois dire que la planche n'avait pas dévoilé toutes ses surprises.
D'abord un retour en arrière pour signaler qu'au moment de l'achat, je m'étais rendu compte qu'il y avait deux cases collées par-dessus la mise en couleur. Je les ai décollées, et j'ai trouvé deux cases inédites aquarellées.
Premier effet.


Les cases collées par-dessus sont en vraies couleurs directes, je veux dire depuis le crayonné jusqu'aux encres de couleur (c'était l'inauguration de cette nouvelle méthode de travail que Gibrat a adopée depuis le Sursis).



Mais aujourd'hui deuxième surprise de taille : la planche de Pinocchia que j'ai, c'est celle dont la première image sert à faire les pages de garde de début et de fin : illustration pleine page de Pinocchia se faisant avaler par la baleine mécanique.


Du coup je suis super content. Mais je crois que Daniel Maghen ne savait pas tout ça quand il m'a vendu la planche.

Publié dans Originaux MODERNES

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